La femme qui a dit « on m’a volé » a écrit un scénario qui a été récompensé aux Oscars

Une femme nommée Ayşe Demirtaş avait affirmé avoir été battue et que le voleur masqué l’avait menacée avec sa fille d’un an et demi, avait appris l’emplacement de l’or…

İhlas Haber Ajansı

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27 Juin, 2024

Une femme nommée Ayşe Demirtaş a affirmé avoir été battue dans une résidence de la 3532e rue du quartier de Şelale dans le district de Manavgat à Antalya, et qu’un voleur masqué l’a menacée avec sa fille d’un an et demi, a appris l’emplacement de l’or et l’a volé. Il a été rapporté que les enquêtes par caméra menées par les équipes du Bureau de la sécurité publique n’ont trouvé personne correspondant à la description de la jeune femme, et la jeune femme a avoué qu’elle avait eu recours à un tel moyen en raison d’une dette de 20 mille TL sur sa carte de crédit.

Les équipes du Bureau de la sécurité publique et de la santé de la Direction de la sécurité de Manavgat, qui se sont rendues hier dans une résidence de la 3532e rue du quartier de Şelale suite à une plainte pour agression et vol, ont emmené à l’hôpital une femme nommée Ayşe Demirtaş, qui a déclaré avoir été battue par la personne qui a frappé à la porte en tant que coursier, pour qu’elle soit soignée. La jeune femme a déclaré qu’on avait sonné à sa porte alors qu’elle était chez elle avec sa fille d’un an et demi, que la personne qui s’était présentée comme un coursier avait commencé à la battre dès qu’elle avait ouvert la porte, qu’elle s’était cogné la tête contre le mur et qu’elle avait dû dire où se trouvait l’or lorsqu’il avait menacé de kidnapper son enfant.

Les équipes du Bureau de la sécurité publique de la Direction de la sécurité de Manavgat ont examiné les caméras de sécurité situées à proximité de la scène de crime et ont déterminé que personne correspondant à la description de la femme n’était entré dans la rue et dans la résidence. Il a été rapporté que la jeune femme a réalisé la gravité de l’incident au siège de la police où elle a été emmenée après son traitement à l’hôpital et a déclaré que ce qu’elle avait dit à la maison n’était pas vrai, qu’elle avait effectué des dépenses par carte de crédit à l’insu de son mari, qu’elle ne pouvait pas le dire à son mari parce qu’elle avait peur, et qu’elle avait eu recours à un tel moyen pour couvrir cette situation. Il a été indiqué que des mesures judiciaires ont été prises à l’encontre de la jeune femme.